Nous sommes dans la villa Nightmare, dont le propriétaire, le magicien noir Belzébuth, s'est trompé devant le seigneur noir lui-même. Selon l'accord, Belzébuth était censé envoyer des épidémies, des destructions et des malheurs à tous les êtres vivants tout au long de l'année, mais bientôt l'horloge sonnerait le début de la nouvelle année, et les chiffres des bulletins étaient décevants : le sorcier pouvait pas faire face aux mauvaises actions qui lui sont assignées. A causé peu de dégâts à la Terre et à ses habitants. Le propriétaire n'est pas content de lui. Mais il reste encore quelques heures avant la fin de la période considérée, pendant lesquelles Belzébuth espère avoir le temps de fermer toutes les gestalts. Il n'a aucun plan et, aussi ironique que cela puisse paraître, le sorcier espère un miracle. Peut-être qu’une force monstrueuse détruira la ville ? Une espèce animale rare sera-t-elle complètement exterminée ? Cela réduira-t-il considérablement le nombre d’humains ? Est-ce que cela empoisonnera les eaux des rivières ?
Et un tel pouvoir est en la personne de sa tante, la sorcière Tyranny, qui saute de la cheminée comme... Comment comme le jack-in-the-box ! Elle n’est pas du tout venue aider, elle est venue elle-même chercher de l’aide, mais une sorcière et un sorcier forment une synergie terrible et destructrice. Ensemble, ils préparent un punch putride, dont ils prévoient de remplir les verres le soir du Nouvel An et... souhaite au monde tout le meilleur, le plus brillant, la santé, le bonheur et la bonne chance. Mais le punch à souhait exauce tous les toasts proclamés exactement à l'opposé. En général, rien de bon n'attend la planète si les plans de ce couple se réalisent.
Sur quoi pouvons-nous, nous, pathétiques petits humains, compter ? Sur le chat et le corbeau. Ces deux familiers sont assignés aux magiciens comme espions du règne animal et ne permettront pas le triomphe du mal. "Je ne peux rien faire, j'ai des pattes" - il ne s'agit certainement pas d'eux. Ce sont eux qui, par une froide nuit de décembre, les yeux couverts de neige et les membres engourdis, ont escaladé le clocher pour que la sonnerie cramoisie du Nouvel An dissipe le maléfice. Et qui pensez-vous avoir rencontré dans le clocher ? Saint Sylvestre ! Pourquoi? Car Saint Sylvestre s'avère être le saint patron du réveillon du Nouvel An. C'est une histoire intéressante, mais complètement différente ; il n'y en a pas un mot dans ce livre.
Il n'y a qu'un seul scénario dans cette histoire, qui est construit autour du coup de poing. Une collision dans la confrontation de deux forces : brasser le punch des désirs - empêcher que le punch des désirs ne se brasse. D’un côté, de vils sorciers qui se détestent profondément ; chacun d'eux, évoquant le coup de poing, poursuit exclusivement son propre but ignoble. À l’autre bout de la corde, au contraire, il y a une équipe qui fait front unique : les ennemis naturels, le chat et l’oiseau. Ce sont les contradictions.
Le compte à rebours va d'abord à l'horloge, puis aux minutes : seront-elles à l'heure ou pas, seront-elles à l'heure ou pas ? Même les titres des chapitres indiquent le temps restant jusqu'à minuit : Sept heures du soir, Neuf heures moins le quart, Neuf heures vingt. Wow, terriblement intense !
Pour les élèves du collège et du lycée. Ne convient pas aux plus jeunes : les enfants seront effrayés par l’ambiance morose et les invités de la pègre (ne vous laissez pas tromper par la couverture caricaturale).
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